Biodiversité et transition agroécologique : l'OFB et INRAE signent un nouvel accord-cadre

En présence de Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, Philippe Mauguin, président-directeur général d’INRAE, et Olivier Thibault, directeur général de l'Office français de la biodiversité (OFB), ont signé au Salon international de l’agriculture un nouvel accord-cadre témoignant de la volonté des deux établissements d’unir leurs compétences et expertises en appui aux politiques publiques, et au plus près des problématiques des acteurs des territoires. Déjà engagées conjointement suite à la signature en 2020 d’un premier accord-cadre, les priorités de travail s’articulent désormais autour de 4 thèmes stratégiques majeurs, couvrant la préservation des ressources en eau et des écosystèmes aquatiques, la biodiversité terrestre, la transition agroécologique et les approches intégrées pour une transition écologique à l’échelle des territoires.

L'autorisation obligatoire de la pêche de loisir et la déclaration des captures sont expérimentées dans deux aires marines protégées

Ce lundi 12 février 2024, deux nouveaux arrêtés encadrant la pêche de loisir dans le Parc naturel marin du golfe du Lion et dans le Parc national des Calanques ont été signés par le directeur par intérim de la Direction interrégionale de la mer Méditerranée (DIRM} par délégation du préfet de région Provence Alpes Côte d'Azur en accord avec ces deux aires marines protégées. Cette mesure permettra d'améliorer la connaissance et d'adopter des mesures de gestion de la ressource halieutique plus adaptées. Le Parc naturel marin du Cap Corse et de l'Agriate est engagé dans une démarche similaire avec les services déconcentrés de l'Etat en Corse, le projet de rédaction de l'arrêté est en phase de finalisation avant mise en ligne pour consultation publique.

Atlas de la biodiversité communale : la campagne de financement 2024 est ouverte

En 2024, l’Office français de la biodiversité (OFB) mobilise 15 millions d’euros afin de financer les Atlas de la biodiversité communale ou intercommunale. Les collectivités peuvent déposer leur dossier tout au long de l’année sur la plateforme aides-territoires.