En Polynésie française, le projet « To’a Nu’uroa » vise à restaurer les récifs coralliens et empêcher la prolifération de l’algue Turbinaria ornata.

L’Office français de la biodiversité (OFB) et le Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive (CEFE) travaillent ensemble depuis plusieurs années en apportant un soutien méthodologique aux parcs nationaux et sur la gestion des grands carnivores en France. Ces deux collaborations à long terme sont aujourd’hui documentées dans un article scientifique, expliquant comment les deux institutions visent à combler le fossé entre recherche et conservation de la biodiversité.

Plus de 12 000 personnes ont suivi la première formation en ligne dédiée à la préservation des pollinisateurs, proposée par l’Office français de la biodiversité (OFB) et ses partenaires.

L’Office français de la biodiversité (OFB), l'École pratique des hautes études (EPHE), les parcs nationaux des Pyrénées et du Mercantour, et leurs partenaires publient une étude sur le régime alimentaire des oiseaux communs en montagne. Elle caractérise, avec une méthode innovante, des régimes alimentaires différents chez les oiseaux insectivores en fonction de l’intensité du pâturage sur les sites qu’ils occupent.

Cet oiseau endémique, que l’on pensait éteint, n’avait plus été observé depuis les années 1970.

L’Office français de la biodiversité et l’association Arthropologia lancent l’application « Diagnostic pollinis’Actions » pour les citoyens et professionnels. Le but ? Mieux accueillir les pollinisateurs dans les jardins et espaces verts.

Grâce au financement de l’Office français de la biodiversité et du Plan France Relance, la commune de Saint-Paul a pu mettre en place un plan de lutte contre cette espèce exotique envahissante.

Le 16 juin 2023, l’Office français de la biodiversité (OFB) et l’Association nationale des fauconniers et autoursiers français (ANFA) ont renouvelé leur convention de partenariat pour une durée de cinq ans.

Le 9 juin 2023, une étude sur le déplacement des mammifères terrestres pendant le confinement a été publiée dans la revue américaine Science. Cette étude est le fruit d’une collaboration internationale de 174 chercheurs à laquelle les scientifiques de l’Office français de la biodiversité ont participé.